L’auteur de bande dessinée nous convie à un voyage mémoriel à travers l’Italie, ses souvenirs d’enfance ou les moments de bascule dans son existence. Rafraîchissant
» Je suis un enfant et je dessine pour ne pas disparaître. Si je ne le fais pas, c’est certain mon entourage m’oubliera. »
Habité depuis toujours par cette pensée magique, Alfred, 48 ans, a noirci des carnets par centaines. Notes, dessins d’observation, crobards saisis dans les coulisses des théâtres où il regardait ses parents comédiens se produire sur scène, petits instantanés de ses vacances italiennes baignées de soleil et de nostalgie, leçons de vie et réflexions sur son travail de dessinateur : Les Jardins invisibles sont à l’image de l’auteur de Come prima et Senso.