Une semaine sur deux, l’Yvelinoise Asma Salomon anime une chronique dans l’émission Intérieurs diffusée sur France 3. Rencontre avec cette architecte d’intérieur et designer.
Concevoir un espace racontant une histoire grâce à la lumière, l’agencement ou le choix du mobilier. Dessiner des objets, comme des chaises, une verrière ou une tête de lit, collant au concept ou aux envies de ses clients. C’est le travail de l’Yvelinoise Asma Salomon.
Cette architecte d’intérieur et designer, qui a grandi à Limay (Yvelines), a ouvert son agence, Other Moon, en 2020. « Je travaille principalement pour les restaurateurs et les particuliers, explique-t-elle. Il y a eu un boom de la rénovation des maisons après la crise du covid et dans les restaurants. Je m’amuse beaucoup en allant au bout des concepts. »
De retour dans le Mantois
Lors de notre rencontre, la cheffe d’entreprise venait tout juste de « livrer » le Matin des Oliviers, une table chic située dans le Ier arrondissement de Paris. La capitale, après avoir été son lieu de vie pendant dix ans avant son retour dans le Mantois, est aujourd’hui son principal terrain de jeu professionnel.
Repérée sur les réseaux sociaux
Depuis le début de l’année 2025, cette diplômée de l’école Camondo, apte à superviser tous les aspects d’un chantier, apparaît dans l’émission Intérieurs, dont la diffusion reprendra le samedi 8 mars sur France 3. Elle y anime une rubrique dans laquelle elle présente le travail de designers choisis par ses soins.
« L’objectif de ma rubrique est de montrer les différents visages du design, qu’il soit graphique, sur textile ou adossé à une maison d’édition. »
Asma Salomon, architecte-designer et chroniqueuse sur France 3
Un œil professionnel posé sur le centre-ville
Son œil professionnel lui insuffle des idées qu’elle adorerait réaliser dans le Mantois, avec des particuliers ou encore des collectivités locales. « Les places du centre-ville manquent d’une dynamique, et les commerces, même s’ils sont de plus en plus nombreux à s’installer, restent peu identifiables, analyse-t-elle. C’est dommage, car la ville a beaucoup à offrir. »